Suite et fin du périple américain des Montpelliérains de « rinôçérôse » à l’occasion de leur participation au festival Area : One organisé par Moby. Galerie de photos prises et commentées par le groupe lui-même.
Journal illustré de « rinôçérôse » en première partie de Moby aux USA
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Highway to heaven
Il eut été dommage de ne pas présenter à notre public internaute ce genre de photographie.
Image d’Épinal des autoroutes américaines et toile de fond de nos interminables déplacements d’Est en Ouest.
Cette photographie prise aux abords de Washington met en perspective une Amérique aussi tranquille que ses files fluides de Chryslers V8 Boîte Automatique.
Nul ici ne peut se douter que le ciel bleu marine de cette photo allait bientôt être troublé par d’autres engins au tempérament nettement plus belliqueux et imprévisibles.
Carl Cox
Carl Cox (posant ici avec Fred Pace, percussionniste du collectif « rinôçérôse ») est l’incarnation parfaite de ce que l’on pourrait appeler « le noir rassurant ».
D’un tempérament imperturbablement jovial, cet homme est le meilleur ami de tout ce que la planète peut compter comme patrons de boîtes et autres « toliers » du genre.
Séduits par son charme exotique et respectueux de son immense talent, nous avons bien sympathisé avec le « Louis Armstrong » des tables tournantes.
Il a même été question de planifier quelques dates françaises avec Carl Cox/ »rinôçérôse ».
A suivre…..
Scène et Backstage au Gorge Amphitheater
Le concert de Seattle au Gorge Amphitheater est sûrement un des plus beaux endroits dans lequel nous avons eu l’occasion de jouer.
La scène est installée au bord d’un immense canyon, vieux cliché de l’Ouest Américain mais toujours aussi saisissant dans sa capacité à nous prouver que l’Amérique est grande!
En cette fin d’après-midi du 3 août 2001, le public allongé dans l’herbe a pu voir le coucher du soleil sur le canyon et certainement un des meilleurs shows de New Order sur cette tournée US.
Kevin Saunderson
Kevin Saunderson est sans conteste une légende techno de Détroit, et ce, depuis bien longtemps.
Il a donc eu largement le temps de se reproduire comme on peut le voir sur cette photo où il mixe fièrement devant ses deux fistons.
Après cette soirée, Kevin aura sûrement résolu un de ses problèmes existentiels majeurs : que répondre à mes fils lorsqu’ils me demandent : « Papa, c’est quoi ton métier ?« .
Pour agrémenter le côté « people » de notre rubrique, il est intéressant de signaler que cette photo a été prise du backstage où, ce soir là, on pu voir danser Carl Cox, Paul Oakenfold, Moby* et une bonne moitié du team « rinôçérôse »….
*On n’est pas sûr à 100% pour Moby !
Le côté austère
Rémi Saboul est d’ordinaire un garçon de nature très joyeuse (il est d’ailleurs très apprécié en société et, outre ses activités musicales au sein du collectif « rinôçérôse », Rémi anime en tant que disc-jockey des soirées dansantes pour le Rotary Club Carcassonnais).
Pourtant, il suffit de peu de choses pour le précipiter dans un état de stress avancé.
Cela peut être un travail à réaliser dans de brefs délais, une responsabilité quelconque ou des nouvelles (mauvaises) de son banquier à Lézignan.
Sur un plan comportemental, cela se traduit par une tendance paranoïaque (non aigüe mais chronique), faisant de chaque parole qui lui est adressée un reproche potentiel.
On notera aussi quelques tendances agressives et une très nette instabilité (abandon soudain d’une tâche, comportements d’achats compulsifs….).
Sur le plan somatique, on observe généralement une poussée de psoriasis sur les genoux et quelques démangeaisons au niveau des sourcils.
La photo ci-dessus donne un bon exemple du faciès de Rémi en état de stress !
Solitude d’une femme
A la façon de quelques « amazones » ayant marqué l’histoire (Jeanne d’Arc, Calamity Jane, Marie Curie….), Patou vit en permanence entourée de garçons.
Même si elle nous assure que la compagnie des hommes lui est souvent plus agréable que celle des femmes, Patou n’en demeure pas moins très féminine.
La voici en effet dans les loges du Short Line Theater de San Fransisco en train d’user de son fer à friser Babyliss.
Elle nous avouera plus tard que c’est au prix d’efforts considérables qu’elle a pu, au cours de cette tournée Aera One, maintenir un certain niveau de présentation esthétique (douches dans des vestiaires de base-ball, séances de maquillage dans des rétroviseurs de tour-bus, séchage de cheveux sur des aires de highway américaines….).
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