De Chicago, de la pop romantique qui fait battre les c(h)oeurs. Critique et écoute.
« Come on feel the Illinoise”, invitait Sufjan Stevens. On aurait très envie de suivre les conseils du musicien pour rejoindre Chicago, ville des adorables Smith Westerns. Moins connus que Real Estate ou Girls, les garçons distillent une pop juvénile et romantique.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Si les deux premiers albums laissaient transparaître un béguin pour Marc Bolan et David Bowie, ce Soft Will voit les Américains s’éloigner des influences glam pour renouer avec une tradition quasi britpop.
3AM Spiritual, Idol, Fool Proof ou l’imparable Varsity : il y a dans ces ritournelles amoureuses de quoi transpercer le coeur des jeunes filles en fleur, voire celui de leurs mamans.
On pense à Tame Impala en plus doux, ou au Oasis des débuts, quand les frères Gallagher alignaient les ballades sensibles en face B (Best Friend). C’est sans surprise mais c’est fort charmant – on vous conseille le radieux Glossed à chaque réveil.
{"type":"Banniere-Basse"}