Glamour, vulgaire et brutal, un plaisir coupable. Critique et écoute.
Sur leur premier album, Treats, de vrais tubes nucléaires laissaient KO. Mais sur scène : lamentable pantomime, bruit en stuc et pose en toc. Le faible deuxième album Reign of Terror fut vite oublié. Pourquoi, alors, écouter Bitter Rivals ? Car les punks dance retrouvent du sens mélodique Superglue de Treats. Et, surtout parce que joué à se faire fondre les tympans, son énergie zinzin, vulgaire, maximale, répond à une nécessité : se défaire du bon goût et se défouler pour de bon.
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