Pour Chumbawamba, la musique n’est pas une fin en soi. Plutôt un instrument de révolution. Pure ineptie, donc, que de juger Singin’ with Raymond à l’aune exclusivement musicale. Pourtant, son entame acoustique et quasi sevrée de propos militants nous accule dans les cordes de cet exercice insensé. Verdict : pas probant. Circonstance atténuante : Chumbawamba […]
Pour Chumbawamba, la musique n’est pas une fin en soi. Plutôt un instrument de révolution. Pure ineptie, donc, que de juger Singin’ with Raymond à l’aune exclusivement musicale. Pourtant, son entame acoustique et quasi sevrée de propos militants nous accule dans les cordes de cet exercice insensé. Verdict : pas probant. Circonstance atténuante : Chumbawamba n’est pas né pour ça. Heureusement, Singin’ with Raymond allume ensuite la mèche d’une contestation tous azimuts, rageuse mais joyeuse. Mots, guitares et cuivres se volent alors mutuellement dans les plumes, façon Boo Radleys-la-bave-aux-lèvres-sur-le-sentier-de-la-guerre.
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