William Shakespeare aurait été un grand amateur de drogues.
C’est en tout cas ce que semblent révéler les analyses de fragments de sa collection de pipes. Des chercheurs y ont en effet découvert des traces de cocaïne, de cannabis et de diverses substances hallucinogènes. Si ces traces ne prouvent rien quant à leur utilisateur effectif, elles paraissent néanmoins confirmer une hypothèse persistante : les pièces et les sonnets de l’auteur regorgent en effet de références et de tournures un peu ambiguës qui ont parfois été attribuées à d’obscures règles grammaticales, mais que des esprits un peu moins orthodoxes attribuaient à un autre type d’influence.
On pense à l’ensemble du Songe d’une nuit d’été, mais certains ont également détecté des choses curieuses et insistantes dans Othello, La Mégère apprivoisée ou dans le sonnet 76.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}