Sorti neuf mois après le premier, le nouvel album de Seely confirme : ce groupe est compétent mais dramatiquement privé de génie. On a donc le droit aux trois mêmes quarts d’heure d’essence de Stereolab et Raincoats dilués dans une cuve de solution neutre, un duo vocal sans grande personnalité se chargeant de sucrer des […]
Sorti neuf mois après le premier, le nouvel album de Seely confirme : ce groupe est compétent mais dramatiquement privé de génie. On a donc le droit aux trois mêmes quarts d’heure d’essence de Stereolab et Raincoats dilués dans une cuve de solution neutre, un duo vocal sans grande personnalité se chargeant de sucrer des chansons sans gloire réelle. Heureusement, quelques instrumentaux voient Seely fréquenter le même lavomatic martien que Füxa. Il y a aussi Like white et Love letters, titres plus tendus et rêveurs. Mais pour le reste, le groupe a recouvert son disque d’un énorme préservatif, histoire de nous protéger des éventuelles failles et aspérités.
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