Vous êtes-vous déjà demandé par quelle étrangeté vous pouviez apprécier les basses grinçantes de Mykki Blanco ou les voix d’outre-tombe de Tyler The Creator ? Ou comment les dissonances d’albums tels que Yeezus pouvaient vous plaire ? Et bien la science a aujourd’hui un début de réponse à vous fournir. Très présent dans le hip-hop […]
Vous êtes-vous déjà demandé par quelle étrangeté vous pouviez apprécier les basses grinçantes de Mykki Blanco ou les voix d’outre-tombe de Tyler The Creator ? Ou comment les dissonances d’albums tels que Yeezus pouvaient vous plaire ? Et bien la science a aujourd’hui un début de réponse à vous fournir.
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Très présent dans le hip-hop et parfois qualifié de « horrorcore », ce type de sonorités se fraierait un chemin direct vers nos vecteurs sensoriels et créerait une décharge d’adrénaline et de dopamine (autrement appelée « la molécule du plaisir ») qu’aucun autre sens n’est en mesure de provoquer. De manière plus large, les oreilles auraient donc un « chemin spécial » vers le centre névralgique de nos sensations, pouvant instantanément stimuler la peur comme le plaisir. Flippant ?
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