Un premier album en forme de plaidoyer pour la dance music.
L’homme qui voulait nous faire danser, Marius Lauber, alias Roosevelt, développe une musique à la croisée des temporalités, de Human League à Future Islands. Son premier album ? Un bal disco pensé depuis des années. En 2012, Lauber décide d’en finir avec la production de chambre. Il vient de quitter son groupe indie Beat!Beat!Beat!, fait quelques tours derrière les platines d’un club, avant de s’installer dans son propre studio, à Cologne.
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Il y compose seul cet album organique, où il pose sa voix légère, évasive, et démontre ses qualités de multi-instrumentiste. Un premier long format qui se montre aussi éblouissant qu’une boule à facettes, dès le début de soirée (avec les entraînants Night Moves et Wait up) et jusqu’au slow de clôture (Close), avec, entre les deux, des moments de liesse et de nostalgie (Heart) et quelques plongées bien sentie entre indie (Sea) et electro (Intro).
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