Rock’n’Roll Is Dead : vaste sujet, traité ici avec sérieux, beaucoup de sérieux, par de bons élèves, que l’on a connus jadis plus cancres, plus roublards, plus dissipés, plus marrants en somme. Parfait, mais muselé, le nouvel album des Hellacopters de Stockholm, devenus potaches internationaux pour le coup, se lit en diagonale comme la dissertation […]
Rock’n’Roll Is Dead : vaste sujet, traité ici avec sérieux, beaucoup de sérieux, par de bons élèves, que l’on a connus jadis plus cancres, plus roublards, plus dissipés, plus marrants en somme.
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Parfait, mais muselé, le nouvel album des Hellacopters de Stockholm, devenus potaches internationaux pour le coup, se lit en diagonale comme la dissertation sans relief d’un abonné du premier rang. Thèse au poil : Leave It Alone ou No Angel to Lay Me away auraient pu faire banquette sur le nouveau Rolling Stones. Antithèse pour la forme : avec l’éponyme Rock & Roll Is Dead ou Bring It on Home, pour rappeler que la résistance fait rage dans les faubourgs de Detroit, Londres ou Paris. Mais la conclusion nous incombe, nous embarrasse et n’échappera pas à un cruel Doit faire ses preuves au prochain examen’.
Rock & Roll Is Dead : pas sûr que d’autres zZz ou Supersuckers laissent faire, mais il serait agréable de pouvoir compter aussi sur les Hellacopters, brillants exégètes du genre, pour nous prouver le contraire.
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