Suite de l’aventure Vrp, ou comment appréhender ce quintet trisomique, prompt à railler la moindre des bassesses humaines, sous couvert de chroniques chroniques. Au début (pas longtemps), on aurait pu croire à un canular, l’haleine fétide, le discours plus bête que méchant, ils finiraient bien par s’essouffler et certains auraient même ri de les voir […]
Suite de l’aventure Vrp, ou comment appréhender ce quintet trisomique, prompt à railler la moindre des bassesses humaines, sous couvert de chroniques chroniques. Au début (pas longtemps), on aurait pu croire à un canular, l’haleine fétide, le discours plus bête que méchant, ils finiraient bien par s’essouffler et certains auraient même ri de les voir étouffer dans leurs propres vomissures. Désolé, mais la réalité diffère et Retire les nains de tes poches arrive à point nommé pour enfoncer le clou des concerts ravagés et du Remords et tristes pets d’infectieuse renommée. Cyniques, triviaux, insolents, vils, vulgaires, mesquins et putrides, les Vrp, pyromanes d’une certaine franchouillardise (combattue de l’intérieur), poussent la provocation jusqu’à retourner sur les lieux de leurs méfaits (Ah le papayou), histoire d’achever les éventuels survivants, d’une nouvelle volée de synopsis psychotiques, galerie de portraits affreux, sales et méchants, dans laquelle ils prennent un plaisir sadique à tirer quelques-unes de leurs
plus belles cartouches (Jean René, La misère des voix vulgaires).
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Archives n°25 (sept.90)
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