Johnny Thunders et Jerry Nolan ne sont plus. Les autres New York Dolls ou Heartbreakers non plus, ou si peu. C’est donc Walter Lure second couteau de L.A.M.F. qui se colle au gardiennage du temple. Lui qu’un emploi à Wall Street ne prédisposait pourtant pas au rôle de missionnaire honore sa charge avec […]
Johnny Thunders et Jerry Nolan ne sont plus. Les autres New York Dolls ou Heartbreakers non plus, ou si peu. C’est donc Walter Lure second couteau de L.A.M.F. qui se colle au gardiennage du temple. Lui qu’un emploi à Wall Street ne prédisposait pourtant pas au rôle de missionnaire honore sa charge avec une foi qui dépasse nos prévisions les plus optimistes. L’album de ses Waldos marque le retour au front des guitares « à la Thunders », savonneuses et d’obédience stonienne. Produits en famille par Andrew Shernoff des Dictators, ces Love that kills ou Flight emboîtent strictement le pas d’autres One track mind ou Get off the phone composés par le même Walter il y a dix-huit ans. Par chance, nous n’attendions ni mieux ni plus.
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