Interrogés par Munchies, la chaîne food de VICE, plusieurs clubbeurs ont donné leurs conseils culinaires pour se remettre d’aplomb après une bonne grosse soirée. Prenez-en de la graine pour vos prochaines escapades nocturnes.
Henning, Léo, Robert et Julia, quatre clubbeurs aguerris des nuits berlinoises ont donné leurs propres recettes pour remettre tranquillement leurs corps et leurs esprit en place après une soirée à taper du pied, avec des aliments fluide pour « éviter d’avoir à mâcher » rapporte le magazine. Plats cuisinés ou collations sur le pouce, ces recommandations vous éviteront de passer tout votre lendemain de soirée comme un figurant de The Walking Dead, et pourront en intéresser plus d’un. Une nutritionniste et professeure adjoint en nutrition à l’université de New York promulgue également ses conseils.
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Pour Henning, la règle n°1 est de toujours privilégier « le confort avant la qualité ». Le jeune Allemand de 27 ans ponctue ses petites matinées du sempiternel combo : Big Mac et milk-shake vanille. Pourtant ancien végétarien, mais cependant toujours intolérant au lactose, l’étudiant a l’air d’y trouver son compte en s’infligeant de plein gré cette indiscipline : « Je me suis dit que je devais choisir la pire option. Quand on brise les règles, autant y aller à fond » conclut-il. Bel esprit !
Léo, 29 ans s’est lui un peu plus pris la tête. Avec 15 ans de teufs dans les pattes, l’ingénieur a eu le temps d’écumer les snacks pour finalement trouver l’enca idéal : le Soylent, un liquide conçu pour couvrir intégralement les besoins nutritionnels humains.
Des protéines, glucides, lipides et micronutriments, la petite fiole contiendrait tout ce dont le corps nécessite pour fonctionner correctement. Difficile d’accès en Allemagne, Léo se contente d’un dérivé, le Mana, qu’il s’enfile directement à la sortie du club : « La culture du clubbing à Berlin est tellement dans l’excès que c’est agréable d’avoir quelque chose de calmant et presque neutre à la fin de la nuit. Ça a presque le goût de la pâte à pancake et ça m’évite de vomir des nouilles au curry » explique le pragmatique ingénieur, à qui l’on décerne au passage la palme de l’honnêteté.
« Pas question de mettre les pieds au restau’ avec une tête de déterré par rapport aux autres clients »
Dans un autre délire, Robert, 26 ans, étudiant en mode, est le seul à prendre le temps de se confectionner un petit plat. Après une courte sieste, pour lui rien de tel qu’un gros pancake de kimchi, une recette de crêpes coréenne épicé, à se fourrer dans la panse. Ça donne (presque) envie.
Pour ceux qui préfère se la jouer discret, Julia, 26 ans, a un remède plus simple et peut être tout aussi efficient : une banane et un doux snikers. « Pas question de mettre les pieds au restau avec une tête de déterré par rapport aux autres clients » raconte la jeune suédoise, qui considère son snack comme le plus « safe », n’offensant personne, et ayant le mérite de permettre une interaction sociale limitée.
Finalement, la nutritionniste et professeur Lisa Young vient clôturer le game avec ses préceptes de pro : la soupe de poulet, « bourrée de qualités, restaure les fluides et le sodium », les oranges et les légumes feuilles remplis de potassium, un minéral généralement en berne après avoir ingéré une bonne dose d’alcool.
Sans oublier la base, le nectar des dieux : de l’eau.
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