Azealia, toujours plus loin dans le malaise…
Ce vendredi 27 janvier, Donald Trump signait un décret controversé interdisant l’entrée sur le territoire des résidents issus de 7 pays musulmans. Le lendemain, Rihanna a réagi à ces propos en qualifiant la mesure de « dévastatrice », et en se déclarant « dégoûtée ». Elle s’est même fendu d’un post sur Twitter :
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« L’Amérique est détruite juste sous nos yeux ! Quel porc immoral faut-il être pour faire ça ».
Disgusted! The news is devastating! America is being ruined right before our eyes! What an immoral pig you have to be to implement such BS!!
— Rihanna (@rihanna) 29 janvier 2017
Azealia Banks a alors choisi de répondre à sa rivale en l’accusant de ne pas être une citoyenne américaine et donc de ne pas pouvoir voter. Elle lui a également conseillé d’ « arrêter de châtier le président ». Avant d’ajouter, toujours sur Twitter :
« Est-ce que j’apprécie personnellement ce qui se passe ? NON ! Mais je peux le dire, telle une citoyenne américaine qui apprécie sa sécurité (…). Je suis 100% outrée face au fait d’ouvrir les frontières et cela serait vraiment effrayant pour moi et ma famille si une sorte de guerre commençait a devenir réelle sur notre sol ».
Rihanna a alors répondu à cette déclaration, en prenant comme angle d’attaque l’épisode du fameux sacrifice de poulets d’Azealia Banks où l’on pouvait voir la chanteuse nettoyer un sol jonché de plumes et de sang…
LOOOOL AZEALIA BANKS BEEN SACRIFICING CHICKENS N USING THEIR BLOOD FOR MAGIC FOR 3 YRS WTF LOOOL N SHE USIN POWER TOOLS TO CLEAN UP THE MESS pic.twitter.com/N7i2F2QzbE
— SHTONEGHOST (@datgrit) 30 décembre 2016
Rihanna a alors publié une photo avec pour légende : « la tête que tu fais quand tu es migrante », ponctuée de plusieurs hashtags sarcastiques tels que « stay away from the chicken », « i heart nuggets » ou encore « save our hens ».
Après la publication d’une autre photo de Rihanna, Banks a craqué en publiant à son tour des messages vidéo s’adressant directement à sa détractrice (supprimés par la suite), qui a fini par lâcher l’affaire.
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