New-Yorkais à l’encontre des traditions.
On a beau être jeune, jouer de la guitare, venir de New York, sortir le soir avec des RayBans noires et porter des cuirs Ramones, on n’est pas forcés de perpétuer une glorieuse tradition locale étalée du Velvet aux Strokes.
Avec leur nom nigaud, les trois new-yorkais jouent donc le rebrousse-poil, en évoquant plutôt une dynastie anglaise de songwriting/storytelling à la Paul Weller, à la Costello. Et ça fonctionne sur ce Monaco qui danse tout rigide, tout incongru – et donc réjouissant – en 2014.