A la fois vénéneux et cristallin, le nouveau sortilège d’une Scandinave surdouée.
Derrière ce nom de groupe trompeur, la jeune Billie Lindahl œuvre en solitaire. Collaboratrice de José González, cette multi-instrumentiste de Stockholm déploie son savoir-faire sur Feed the Fire, un troisième album intense qui envoûte dès la chanson-titre d’introduction.
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Dernière d’une lignée de compositrices ensorcelantes (Kate Bush, Bat For Lashes, Fever Ray, etc.), cette Suédoise conçoit avec minutie des morceaux aussi vaporeux que ténébreux, dans un étrange mélange entre murder ballads et arrangements electro, entre folklore gothique et Twin Peaks, entre blues et mantras. Le résultat, troublant, est dominé par sa voix céleste, source de ce feu sacré qu’on espère voir brûler jusqu’à la nuit des temps.
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