Doux et soyeux.
Depuis l’Australie, où on était en pause depuis deux jours, il n’y a qu’un bout de mer – et un gouffre culturel – à traverser pour rejoindre la douce Néo-Zélandaise Princess Chelsea. Une douce excentrique, qui reprend Nirvana à l’orgue ou, ici, installe Beach House dans la baie d’Auckland, avec un hamac devant et un kaléidoscope à portée de main pour regarder danser les dauphins et peut-être les sirènes. Doux et soyeux, son psychédélisme aux airs de jouet vous fera danser des slows tout seul s’il le faut. Sur la pochette, un rayon tombe du ciel : lumière bienfaisante, venue d’ailleurs.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}