Musique d’ascenseur, mais celui de Roald Dahl.
C’est un rituel des aubes laiteuses du dimanche : attendre le jour avec Arvo Pärt, ses tocsins et ses cordes déchirées. Il faut être inconscient pour se lancer dans une reprise du terrassant Spiegel im Spiegel de l’Estonien – et le Français Pointe du Lac mérite d’abord notre incrédulité, puis notre admiration puis notre amour avec cette version dédramatisée pour guitares droites, interférences solaires, synthés en nappes suspendues au vent. Musique d’ascenseur, mais celui de Roald Dahl.
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