Narcisse dans une prison de glace.
Rythmes asymétriques, séquenceurs au bord de l’extinction par peur au ventre, voix de pythie prisonnière des glaces : l’ambiance est franchement frisquette et nordique – penser à Fever Ray, à Lykke Li – chez ce groupe pourtant lyonnais, étonnamment lascif sous ses airs brusques, bruts, anguleux. En fin de chanson, une chorale de vierges ivres de malheur donne même envie d’appeler un exorciste (3615fightlediable).
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}