Le jour de ses 30 ans, Pete Doherty annonce qu’il aurait vendu des drogues aux Strokes avant même de jouer avec les Libertines.
Après avoir annoncé se lancer en solo, continuer avec les Babyshambles, et vouloir reformer les Libertines, Pete Doherty déchaîne en ce moment toutes les passions et les titres de la presse tabloïd, dans une coulée ininterrompue de soubresauts médiatiques.
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Aujourd’hui au menu : Pete Doherty et le bus musical, et Pete Doherty a vendu des acides aux Strokes, la confirmation de reformation des Libertines, Pete Doherty est clean, et « Joyeux anniversaire Pete Doherty ».
On savait que Pete Doherty était à Paris cette semaine pour deux concerts au Bataclan mais ce qu’on ne savait pas c’était comment il était allé jusque là. Et bien il est venu avec des fans à lui dans un bus recouvert de posters de son prochain album solo, à jouer des ritournelles à ses ouailles jusqu’à s’en faire sauter le chapeau. Et on vous le prouve (pour ceux d’entre vous qui voient dans le noir) avec cette vidéo de Good Old Days pas piquée des lucioles :
Le lendemain du dernier concert à Paris, notre cher Pete s’est fait interviewer par le magazine anglais Short List, auquel il a avoué sans fausse pudeur avoir vendu des acides au Strokes avant 2001. C’est-à-dire l’époque ou il n’était même pas dans un groupe, seulement barman à refiler des trucs louches aux clients fortunés en passe de devenir les égéries rock de la décennie et ce pour un peu d’argent et des places de concerts. Pete claque des doigts, et tous les tabloïds font les beaux.
Aujourd’hui il a 30 ans. Et il vient de confirmer dans une interview du journal The Sun que son premier groupe avec Carl Barat était en voie imminente de se reformer. Il assure par ailleurs, sans pour autant laisser tomber son Gin Tonic fétiche et pour une énième fois, qu’il arrêtait les drogues et (chose nouvelle?) les petites copines. Si Pete s’assagit, on pourra se demander avec quoi il pourra faire tourner son buzz habituel -mais ce serait sans compter sur sa capacité intrinsèque à rebondir. La routine du show-man, en somme.
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