Les hymnes extravagants de Californiens bien dans leurs tongs.
Les miracles, par définition, arrivent toujours lorsqu’on s’y attend le moins : Foreign Born confirme une fois de plus la règle puisque, après un premier album passé à la trappe, ces Américains viennent de provoquer un séisme qui pourrait bien faire d’eux l’un des groupes les plus prometteurs de l’année.
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C’est sous le soleil de Los Angeles que ces quatre gandins ont assemblé, avec minutie, le puzzle géant de Person to Person, album complexe et expérimental, tenant autant de la douceur de Grizzly Bear que de l’excentricité d’Animal Collective et de Vampire Weekend. A la simplicité, Foreign Born a, comme ses compatriotes, préféré les risques en faisant se côtoyer percus africaines, zouk, guitares poussiéreuses et folk aérien (Winter Games, Early Warnings). Visa accordé.
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