De Californie, des comptines electro-pop ensorcelantes. Critique et écoute.
Ils sont mari et femme, viennent de San Francisco, vivent à Los Angeles avec leurs enfants. L’un d’entre eux, nommé Mikko, chantait même sur Lucifer, leur troisième album. Sur Cosmic Logic, le nouveau disque de Peaking Lights, pas d’enfant mais toujours un authentique esprit joueur, une façon de faire la musique sans se prendre au sérieux ou se regarder dans le miroir.
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Electro floue, dub vaporeux, beats ludiques : Peaking Lights compose avec un plaisir palpable le générique d’une nuit de fête, la bande-son d’une mission pour la comète Tchouri sous acide. Portées par la voix vaporeuse d’Indra Dunis, ces chansons béates, souvent anodines à la première écoute, révèlent leur charme insidieusement et finissent par infiltrer l’encéphale pour ne plus le quitter (Telephone Call, Everyone and Us).
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