Retour en champion pop du Français : pump up the PacoVolume. Critique et écoute.
Il a vécu dans les Pyrénées, puis virevolté entre la Nouvelle-Zélande, Bordeaux et Paris, où il a finalement élu domicile. Il a étudié l’oenologie et travaillé comme caviste dans “la belle endormie” aquitaine, abreuvant alors tous les musiciens locaux ou adoptés (Calc, Kim, The Shoes). Constatant le dynamisme musical de ses copains, il a à son tour posté un morceau, formidable, sur le net : CookieMachine se retrouvait de suite sélectionné sur une compilation CQFD.
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Un album (Manhattan Baby) et quelques années plus tard, le Français PacoVolume publie Massive Passive, un disque qu’il a pensé, un temps, intituler Led Zeppelin III pour éviter l’écueil du second album raté. Pas la peine au final : Massive Passive est un excellent deuxième chapitre, qui montre une facette plus rock et noisy du musicien, comme ce Yallah Shalom sauvage en introduction. Pour autant, le songwriter n’a pas perdu en chemin son écriture habile : sur Palest Winter Light, il fait des miracles comme un Baxter Dury ; sur Black Shorts Henry, il s’invite à la table de Super Furry Animals ; sur Galaxy of Stars, il est le petit-fils de Bowie. Chapeau Paco.
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