Des retrouvailles avec Purr, dont l’initial Whales lead to the deep sea a charmé plus d’un tympan sensible, l’on escomptait beaucoup plus (trop ) que cet Open transport de troisième classe. Tout du long, hormis peut-être le temps de Squares et See me drown , les parisiens s’échinent en vain à renouer avec la grâcieuse […]
Des retrouvailles avec Purr, dont l’initial Whales lead to the deep sea a charmé plus d’un tympan sensible, l’on escomptait beaucoup plus (trop ) que cet Open transport de troisième classe. Tout du long, hormis peut-être le temps de Squares et See me drown , les parisiens s’échinent en vain à renouer avec la grâcieuse tension de leur précédent album, dont on a ici la fâcheuse impression d’entendre un succédané sérieusement dévitalisé. De ce que d’aucuns crurent bon de nommer post-rock, Purr incarne avec Open transport le versant le plus fade : soit une blanchâtre potion jazzy pas magique du tout, ni post ni rock mais à l’insipidité rédhibitoire ? les textes en français n’arrangeant rien mais alors rien du tout. On s’apprête donc à passer l’hiver sans Purr et sans reproches.
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