Anciennement connu sous le nom de Common Sense, ce rapper chicagoan s’était illustré avec I used to love h.e.r., un manifeste rap suivi d’une belle polémique. Trois ans après, il invite à une nouvelle plongée dans les méandres de son âme. D’un phrasé fluide et limpide, qui n’est pas sans rappeler celui de King Lu […]
Anciennement connu sous le nom de Common Sense, ce rapper chicagoan s’était illustré avec I used to love h.e.r., un manifeste rap suivi d’une belle polémique. Trois ans après, il invite à une nouvelle plongée dans les méandres de son âme. D’un phrasé fluide et limpide, qui n’est pas sans rappeler celui de King Lu des Dream Warriors, Common passe au divan avec habileté, devant le gratin mondain : De La Soul, Lauryn Hill (sur le magnifique Retrospect for life), Erykah Badu, Q-Tip, The Roots ou encore Cee-Lo des Goodie Mob sur l’excellent G.O.D. (Gaining one’s definition). Et c’est papa en personne qui vient clore les débats pour expliquer combien il est fier de son fils (Pop’s rap part 2/Fatherhood). Un pas de géant vers la maturité artistique.
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