Ha la Norvège, terroir des phoques et des baleines, royaume du rennes et de l’ours polaire, reconnue pour ses paysages de fjords embrumés, capitale du black metal et de la space disco… On ne peut pas résister à la tentation d’aller voir ça de plus près. Direction Oslo et le Øya festival : récit et photos.
Seulement on abandonnera tout de même l’Anglaise avant la fin pour aller découvrir Serena Maneesh. Chaudement recommandée par les autochtones, ces sortes de My Bloody Valentine Scandinaves auront raison de notre amour pour les le shoegaze, les 90’s et la pop.
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Serena Maneesh : 5
Le lendemain, on se rue sur Panda Bear. Person Pitch était l’un de nos albums déprimants préférés de 2007 et aller écouter les nouveaux morceaux de ce membre d’Animal Collective était bien entendu indispensable. Seulement voilà, il est 16h, c’est tôt. Et les blip blop noisy de l’Américain ne nous attachent pas suffisamment les oreilles au plafond. On s’ennuie, un peu. On se dit que c’est sans doute plus convaincant sur disque. D’autres festivaliers avoueront avoir vécu une véritable expérience. Pt’être on a vraiment loupé un truc…
Panda Bear : 2
Fools Gold sur la scène Enga. Là, c’est la surprise. On n’attendait rien de ce groupe de Los Angeles et nous voici prêts à tout donner sur ce drôle de mélange de rythmes afros et de pop. Le soleil tape et la fusion des genres est parfaitement en harmonie.
Fool’s Gold : 5
LCD SoundSystem. Quand ce bon James Murphy déboule sur scène, il a pas l’air en forme. Mais rapidement il reprend du poil de la bête, avoue être un peu malade, et quand ils attaquent Dance Yourself Clean, le concert prend soudainement un virage à 67 degrés. La basse est lourde et funky, les cow bells rugissent sur les rythmiques rock, les guitares s’envolent et on est aux anges.
LCD SoundSystem : 6
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