Venue d’Islande, une joyeuse troupe joue du folk dans la tempête.
Ils sont six et, pour la plupart, portent des patronymes qui cartonnent au Scrabble : Ragnar Þórhallsson, Brynjar Leifsson, Arnar Rósenkranz Hilmarsson… Ils viennent d’Islande, île qui, de Björk à Sigur Rós, n’a cessé d’oeuvrer pour le bonheur sonore de l’humanité. Ils sont formidables sur scène : pour leurs concerts tempétueux, on les compare déjà à Arcade Fire, dont ils partagent le souffle épique. Ils ont un nom qui aurait plu à John Steinbeck (des monstres et des hommes) ainsi qu’une chanteuse prénommée Nanna qui est probablement une super nana. Enfin, et surtout, les galopins d’Of Monsters And Men possèdent un morceau épatant nommé Little Talks.
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Porté par des cuivres radieux et une mélodie antispleen, c’est un titre faussement rieur, qui raconte la lose d’une rupture sur fond de choeurs extatiques. Le morceau, qui a valu au groupe d’irradier tous les blogs de la planète et qui devrait bientôt être partout, illumine leur premier maxi, Into the Woods. La suite sera dévoilée à l’automne avec la sortie d’un premier album (My Head Is an Animal) et un concert parisien – le groupe fait partie des découvertes du prochain festival Rock en Seine.
concert au festival Rock en Seine, le 25 août à Saint-Cloud
album My Head is an Animal à la rentrée (Mercury/Universal)
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