“Sensibiliser le public à l’art”, voici le mot d’ordre de cette 4e Nuit Blanche orchestrée par Jean Blaise. Au sommaire, plusieurs parcours dans toute la capitale avec près de 120 événements, du Marais à Belleville, de la BNF au Sacré Coeur.A voir : le jardin des Halles transformé en club brésilien, l’univers inquiétant et fantasmagorique […]
« Sensibiliser le public à l’art », voici le mot d’ordre de cette 4e Nuit Blanche orchestrée par Jean Blaise. Au sommaire, plusieurs parcours dans toute la capitale avec près de 120 événements, du Marais à Belleville, de la BNF au Sacré Coeur.
A voir : le jardin des Halles transformé en club brésilien, l’univers inquiétant et fantasmagorique de l’artiste française Virginie Barré, la friperie en plein air de Maroussia Rebecq à Belleville, les portraits fantomatiques de Nicolas Moulin boulevard de la Villette, les dispositifs de télésurveillance à la BNF du Suédois Henrik Håkansson, le travail in situ du jeune Vincent Ganivet rue Louise-Weiss dans le XIIIe arrondissement.
Sans oublier : « Embarquement//5’32 » (voir photo ci-dessus) dans le jardin d’Acclimatation, et plus précisément sur la Rivière enchantée, où, à la lueur de lanternes, des comédiens livreront les confidences d’auteurs contemporains (Philippe Claudel, Vincent Ravallec…) ; et le travelling sonore « Sound Drop » dans le quartier de la Goutte-d’Or.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Halles-Marais : parcours « Central do Paris »
Forum des Halles : installation son et lumière, danse pop par Olivier Casamayou, Carine Charaire et Gaspard Yurkievitch.
De 22 heures à 23 h 30, performance du Brésilien Marepe.
Jardin des Halles : « Favela choc » par l’association Masala et David Bartex (playlist entre funk et hip-hop).
Eglise Saint-Merri : l’artiste argentin Hugo Bonamim investit l’église.
Hôtel d’Albret : boules disco d’Isabelle Krieg.
Centre culturel suédois : musique et art plastique avec Amanda Cardell et John Lessign.
Centre culturel suisse : lecture-marathon de l’oeuvre de Robert Walser.
Bastille-Porte Dorée : « drôles d’endroits »
La Maison Rouge : la fondation sera ouverte jusqu’à 5 heures du matin.
Opéra Bastille : le Japon de Fiona Tan.
Coulée verte : l’univers fictionnel de Virginie Barré.
Piscine de Reuilly : musique electro de Mich Kill My Dog.
Pelouse de Reully : place au cirque fellinien.
Avenue Daumesnil : les cabines téléphoniques de Grégory Chatonsky.
Tunnel Picpus : lumière et son d’Edwin Van der Heide.
Rue Picpus : les images guerrières de Philippe Meste.
Bords de Seine : parcours « Nouvelles vagues »
Place de l’Hôtel de ville : vidéo de Fiona Tan et installation interactive « Upstream », créée par Isabelle Grosse en collaboration avec Mâa.
La MEP : Peter Klasen.
Pont de Sully : éclairage par François Morellet.
Institut du monde arabe : nuit d’Orient.
Hôpital de la Pitié-Salpêtrière : herbes géantes de Vincent Leroy. Dans les jardins, les sculptures de Mâkhi Xenakis.
Les Voûtes (rue Neuve-rue des Frigos) : la forêt tropicale du plasticien italien David Monacchi.
BNF : les dispositis de télésurveillance de l’artiste suédois Henrik Hakansson.
Rue Louise-Weiss : avec Vincent Ganivet.
Rue du Chevaleret : les fleurs de Miguel Chevalier.
Belleville : parcours « Nuit de fête »
Entre le Père Lachaise et le Point Ephémère : défilé et friperie Andréas Crews de Maroussia Rebecq.
Métro Père-Lachaise : Samuel Bianchini et vidéos d’Olivier Bosson.
Jardin des Noisetiers : installation de Samuel Bianchini.
Place Saint-Marthe : « La Nuit des morts-vivants » par Nicolas Boone.
Place et rue Sainte-Marthe : Nicolas Boone conçoit des fictions.
Boulevard de la Villette : les portraits de squatteurs de Nicolas Moulin.
Quai Valmy : l’avion fiction de Pierre Giner.
Des Abesses à la petite ceinture : parcours « Les Chemins du paradis »
Eglise Saint-Jean-de-Montmartre : le pianiste Gonzales.
Jardin Louise-Michel : pavage de films multicolores.
Sacré Coeur : installations de Senseo et le « Concert de 300 guitares » de Rhys Chatam.
Marches du Sacré-Coeur : le graphiste-DJ Nakion et le réalisateur-illustration Didier Poiraud.
Halles Saint-Pierre : les 100 saxos de Régis Campo.
Pour en savoir plus, cliquez-ici (site officiel de la Nuit Blanche).
{"type":"Banniere-Basse"}