Jean-Louis Murat revient en septembre avec un album enregistré dans le Massif Central de la musique US : Nashville.
« Lassé de combats inutiles,
Envie d’un lieu mythique comme La Mecque ou Athènes,
Pas vraiment dans le cours ordinaire des choses…
Fuyant ce qui pourrait l’éteindre…
Tel Le grand Incendie, qui brûle et se consume sans fin,
Jean-Louis Murat s’est expatrié à Nashville.
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Éternel prêcheur du sensible,
« Cow Boy à l’âme fresh » longeant le Mississipi,
à quelques kilomètres de Memphis,
Aux côtés de Robert Plant et des White Stripes
Dans une ville moins grande que Clermont,
Où, pas moins de cent studios d’enregistrement
Tirent la bourre à trois cent mille habitants,
Il a enregistré d’extrêmes chansons. »
C’est, notamment, ce qu’explique, en vers, le communiqué officiel annonçant le Murat nouveau : enregistré donc à Nashville, l’album du Clermontois s’intitule Le cours ordinaire des choses et sortira en septembre. Murat s’est entouré pour l’occasion d’une petite armée d’Américains plutôt rodés et patinés (Shannon Forrest, Mike Brignardello, Dan Dugmore, Dan Dugmore…) ayant collaboré, pour l’Histoire et notamment, avec Joan Baez, Neil Diamond, Faith Hill, R.E.M., The Isaacs ou David Corsby.
La chose a été enregistrée par Christophe Dupouy dans le studio Ocean Way, où sont notamment passés Joni Mitchell, Elvis Costello, Rufus Wainwright, les Rolling Stones ou Michael Jackson.
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