Des nouvelles noires consacrées à Nevermind de Nirvana : ouvrage en demi-teinte. Critique.
En huit ans, depuis la publication du premier ouvrage de la série consacré aux Dogs, les nouvelles noires sont devenues une licence, une sorte de mook à l’hébergement incertain (d’aucuns ont été publiés chez d’autres éditeurs) et au rythme irrégulier. On comprendra mieux dans ce contexte que la composition du collectif d’auteurs à la plume de ce volume consacré à Nevermind de Nirvana ait été modifiée, rajeunie, et que les “stars” aient peu à peu déserté la baraque.
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Le principe est toujours peu ou prou le même : une chanson, un auteur, une nouvelle. On pourra trouver dommage que, de plus en plus, les scribes s’éloignent du genre “noir” pour coller au texte de la chanson, réécrire l’histoire du groupe ou s’égarer dans une autofiction parfois un peu balourde. On le regrettera d’autant plus que parmi les très belles réussites de ce recueil on trouve les textes les plus sombres, Lithium et Something in the Way en tête.
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