Odezenne, Grimes, Booba… : ils l’ont dit dans Les Inrocks.
Odezenne (n° 1040, 4 novembre)
“On n’était pas là pour parler stratégie, mais musique. On est des artisans. On est dans le faire. On met tout dans ce groupe. Il est ma vie. Mais bon, on reste trois branleurs dans une cave.”
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Hanni El Khatib (n° 1001, 4 février)
“Si je gagne en succès, tant mieux, mais ça n’est pas ma motivation principale. Je n’ai jamais fait ce métier pour me taper des meufs, j’ai commencé bien trop vieux.”
Father John Misty (n° 1005, 4 mars)
“Il y a quelques années, j’ai vécu une expérience fabuleuse avec des champignons, ce qui m’a permis de voyager très loin dans mon subconscient.”
Marilyn Manson (n° 998, 14 février)
“Je n’ai jamais supporté qu’on fasse du mal à une femme. Ça me rend un peu macho. Les seules fois où je me suis battu, c’était pour protéger une fille.”
Gaz Coombes (n° 1001, 4 février)
“Aujourd’hui, je mène une vie tranquille de père de famille, alors le studio est au contraire l’endroit où je peux redevenir un sale gosse, hurler ‘fuck off’ à la terre entière sans que personne ne m’entende.”
Brodinski (n° 1004, 25 février)
“J’ai trop d’amour pour le rap US pour passer de l’autre côté du micro.”
BC Camplight (n° 999, 21 janvier)
“On a beau s’y entraîner, on ne s’habitue jamais vraiment à prendre des poings dans la gueule.”
Grimes (n° 1043, 25 novembre)
“Le mec en studio ne voulait pas me laisser toucher les boutons. Les gens se demandent toujours pourquoi tu ne te contentes pas de chanter si tu es une femme. Ça me donne envie de tout casser.”
Joey Bada$$ (n° 997, 7 janvier)
“Depuis que j’ai 15 ans, je suis en compétition avec Jay Z. Je ne dis pas ça comme une provocation, c’est juste ma mentalité.”
The Shoes (n° 1036, 7 octobre)
“Je dealais un peu de shit et je suis tombé sur un couillon qui m’a échangé sa basse Fender Japan contre dix grammes. Je joue encore dessus.”
Vincent Peirani (n° 1001, 4 février)
“J’avais 10 ans et je voulais faire de la batterie. Mon père m’a dit : ‘Non, tu vas faire de l’accordéon.’ Pendant longtemps, à chaque fois qu’il me mettait l’instrument sur les genoux, je pleurais.”
Soko (n° 1005, 4 mars)
“Ecrire une chanson, c’est comme photographier l’intérieur de son cerveau. Et je n’ai pas envie de faire du Photoshop.”
Booba (n° 1006, 11 mars)
“Plus jeune, quand j’allais chez mon grand-père, il me présentait aux voisins comme le fils du concierge.”
Rone (n° 1002, 11 février)
« Faire des morceaux, c’est comme faire des enfants : tu en es le créateur mais le truc t’échappe un peu et finit par avoir sa propre vie.”
Richard Hawley (n° 1032, 9 septembre)
“Je n’ai jamais écouté Happy de Pharrell Williams. J’en ai beaucoup entendu parler par ma fille mais je dois être la dernière personne au monde à ne pas avoir entendu cette chanson.”
Azealia Banks (n° 1009, 1er avril)
“La ‘blanchitude’ qui domine le monde est pour moi une sorte de maladie mentale.”
Noel Gallagher (n° 1005, 4 mars)
“Le rock est mort. Je vais te dire pourquoi. Ce n’est pas à cause de la musique, mais à cause de l’état d’esprit des gens qui la font : sans rock-stars, il n’y a pas de rock, et l’industrie a tué les rock-stars.”
Girl Band (n° 1035, 30 septembre)
“Ce groupe, c’est notre soupape, qui nous permet de nous libérer de la tension, de la rage, de la frustration. C’était ça ou être bourrés tous les soirs et insulter les lampadaires à la place des gros cons de chauves qui nous gouvernent.”
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