Un toréro meurt ? « Hourra », s’exclame Morrissey sur son nouveau morceau, en écoute ici.
Extraits de son nouvel album à paraître mi-juillet Peace World Is None of Your Business, mis en écoute au compte-gouttes depuis quelques semaines et généralement accompagnés de versions « spoken-word » (dont la précédente Earth is the Loneliest Planet comportait une apparition inattendue de Pamela Anderson), les nouveaux morceaux de Morrissey se suivent et les premières impressions se ressemblent : le garçon, qui a pourtant récemment dû annuler une partie de sa tournée américaine pour raisons de santé, semble être dans une grande forme artistique.
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La nouvelle chanson en date diffusée par El Moz est The Bullfighter Dies. Qui, son nom l’indique relativement bien, est une charge en règle contre la corrida par le grand protecteur des droits des animaux qu’est, depuis toujours, l’Anglais. « Mad in Madrid, ill in Seville, lonely in Barcelona. Then someone told you, and and you cheered Houray! Houray! The bullfighter dies! Houray! Houray! The bullfighter dies and nobody cries, because we all want the bull to survive » est-il ainsi chanté : la déclaration est claire et limpide et la réjouissance de la mort du torero ne semble ainsi même pas nécessiter de traduction.
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