Signé sur Gigolo, le label du poseur filou Richard Hell, Richard Bartz donne une idée assez convaincante de ce que peut être la sauvagerie électronique à l’allemande : laissant le minimalisme (et les trips hypnotiques) aux intellos de Kompakt, les breakbeats aux Berlinois de BPitch Control, Bartz délivre une techno puissante teintée electroclash, qui sent […]
Signé sur Gigolo, le label du poseur filou Richard Hell, Richard Bartz donne une idée assez convaincante de ce que peut être la sauvagerie électronique à l’allemande : laissant le minimalisme (et les trips hypnotiques) aux intellos de Kompakt, les breakbeats aux Berlinois de BPitch Control, Bartz délivre une techno puissante teintée electroclash, qui sent la sciure et les tortures industrielles. A l’image de Tuffguy, le surpuissant deuxième titre, Midnight Man emporte tout sur son passage et taille la route à grands coups de riffs saturés. La bande-son idéale des trips nocturnes ultimes quand, bourré(e) comme un coing, on ne sait plus trop bien où l’on va. Mais on sait qu’on y va.
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