La ville s’appelle Tours, mais sa vaste scène électronique ne connaît que les détours, les atours. A la béatitude élémentaire de la house ou aux théorèmes fastoches de l’electronica, ces laborantins flânent ainsi sur des chemins de traverse, à califourchon sur les frontières de toutes les seigneureries des musiques synthétiques. On y croise ainsi une […]
La ville s’appelle Tours, mais sa vaste scène électronique ne connaît que les détours, les atours. A la béatitude élémentaire de la house ou aux théorèmes fastoches de l’electronica, ces laborantins flânent ainsi sur des chemins de traverse, à califourchon sur les frontières de toutes les seigneureries des musiques synthétiques. On y croise ainsi une elfe des bords de Loire au micro des koalas de Yucky-Yummy, un alligator des bayous du Cher chez le dérangé Brad Pich, un Kraftwerk dont l’Autobahn se prolongerait jusqu’à l’A10 chez les bucoliques Piloupilou ou un funk futuriste chez Laudanum, dont la lascivité serait censurée par Royer.
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