Repéré par les inRocKs lab, un Marseillais bricole et enchante. Critique et écoute.
Sur ce deuxième album, toujours produit par Simon Henner (l’homme-machines de Nasser et Husbands), Martin Mey a soigné les climats qui enveloppent d’un voile grave cette collection de chansons aussi entêtantes que pudiques (Running Child, Never Go Down). Mais le garçon est aussi sacrément doué sur le registre folk introspectif (Seed Song, It Just Happens, Elephant) et rappelle le premier Leonard Cohen autant que le talent touche-à-tout de Joseph Arthur.
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