Une très jeune Anglaise rénove le British folk avec grâce et culot. A tomber raide. Critique et écoute.
Fan du poète et romancier D. H. Lawrence (L’Amant de Lady Chatterley), proche de Benjamin Francis Leftwich ou de Johnny Flynn, proche donc de la jeune relève de l’antique orfèvrerie British folk, la très jeune Anglaise Marika Hackman rénove les vieilles boiseries avec autant de grâce que de culot. Pensez à une descendante de Syd Barrett ou de Nico, à une cousine de Stina Nordenstam, de Cat Power, de Tunng ou de Joanna Newsom, laissez ses chansons, ravissantes, venimeuses, nues et tristes ou enlevées et piquantes planter leurs épines dans vos sens et installer le beau flou dans vos âmes, et vous ne vous en relèverez sans doute pas tout de suite.
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