Ces Américains font des choses coquines aux mélodies. Critique et écoute.
Que peut évoquer Maps & Atlases sinon une fuite nerveuse au gré du vent ? Car si le souffle de Dave Davison fait parfois penser à Phil Collins (la pourtant belle Fever), la guimauve est ici malaxée jusqu’au durcissement, pour un son rocailleux au-dessus duquel planent les idées folk de Bon Iver (Old & Gray). Celui-ci partage d’ailleurs avec le leader de Maps & Atlases le goût d’une pilosité peu soignée : baroudeur barbu, parcourant l’Atlas sans aucune carte.
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