Si le film Help! laissait déjà entrevoir chez les Beatles un vrai béguin pour les envolées surréalistes, Magical Mystery Tour constitue la plus folle parenthèse cinématographique du groupe. Succédant au diptyque Revolver/Sergent Pepper’s Lonely Hearts Club Band, le disque qui accompagne le film dévoile quelques-unes des compositions les plus complexes des Fab Four : de […]
Si le film Help! laissait déjà entrevoir chez les Beatles un vrai béguin pour les envolées surréalistes, Magical Mystery Tour constitue la plus folle parenthèse cinématographique du groupe. Succédant au diptyque Revolver/Sergent Pepper’s Lonely Hearts Club Band, le disque qui accompagne le film dévoile quelques-unes des compositions les plus complexes des Fab Four : de I Am the Walrus, que les frères Gallagher d’Oasis ne sont toujours pas parvenus à digérer, au séminal Strawberry Fields Forever, visionnaire et psychotrope, le groupe, qui en a certainement beaucoup fumé, enchaîne une série de pétards psyché – Penny Lane, The Fool on the Hill, Hello Goodbye ou All You Need Is Love.
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