Par le Concerto Italiano, dir. Rinaldo Alessandrini Les derniers madrigaux de Gesualdo n’ont rien de facile. Un monde littéraire assez conventionnel mais des éclairs harmoniques fulgurants qui n’ont rien de classique. La symétrie de la Renaissance a fondu devant la folie baroque. Traduction des tourments personnels de Gesualdo, ces madrigaux sont décortiqués grâce à la […]
Par le Concerto Italiano, dir. Rinaldo Alessandrini
Les derniers madrigaux de Gesualdo n’ont rien de facile. Un monde littéraire assez conventionnel mais des éclairs harmoniques fulgurants qui n’ont rien de classique. La symétrie de la Renaissance a fondu devant la folie baroque. Traduction des tourments personnels de Gesualdo, ces madrigaux sont décortiqués grâce à la souplesse d’Alessandrini qui veut montrer que le compositeur était un écorché vif, un noble napolitain aux mœurs sulfureuses qui pratiquait la musique avec un génial dilettantisme.
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