De Bordeaux, le label de poche Alienor continue à œuvrer vaillamment : l’album d’Iris constitue sa première référence de poids. Appréciée sur format court, la musique du trio de Derby passe péniblement l’épreuve de la longueur. A son crédit, un art mélodique certain, hélas souillé par une succession d’arrangements torchonnés tout au long de […]
De Bordeaux, le label de poche Alienor continue à œuvrer vaillamment : l’album d’Iris constitue sa première référence de poids. Appréciée sur format court, la musique du trio de Derby passe péniblement l’épreuve de la longueur. A son crédit, un art mélodique certain, hélas souillé par une succession d’arrangements torchonnés tout au long de ce Madaga, basse et batterie rivalisent d’imbécillité bavarde. Ponctuellement, ces notes fortuites, ces virages tordus, ces vertiges feints, rappelleront les meilleurs moments de St Christopher et généreront une impression de malaise assez captivante. Mais trop souvent, l’oreille manquera de repères. Iris n’appartient pas : sa musique échappe. Nous échappe ?
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