S’il avait déjà été remarqué en première partie de la chanteuse Juliette Armanet, “No Paradise” se présente comme l’acte de naissance de Lucky Love.
Lucky Love interroge, intrigue, passionne. Connu pour ses activités de mannequin, de danseur, d’acteur et maintenant aussi, donc, de compositeur, Luc Bruyère nous ouvre les portes de son univers musical, entre chanson française et obscurité électrique. Après avoir assuré les premières parties des Olympia de Marina Rollman et de Juliette Armanet, le voici qui lâche, enfin, son premier single et premier clip, Paradise, rappelant furieusement Antony and the Johnsons.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Des invités de marque
C’est son amie Béatrice Dalle – rencontrée sur la pièce Elephant Man – que l’on retrouve en voix off ténébreuse, tandis que l’actrice et mannequin Zahia Dehar joue la muse vêtue de rouge. Dans un univers visuel menaçant, créé par ses propres soins avec l’aide de Paco del Rosso (compositeur/producteur du titre), Malik Le Nost (chorégraphe du clip), Amine Berrada (chef opérateur) et Bruno Sialelli (directeur artistique de Lanvin), Lucky Love semble vouloir exorciser ses démons, ou panser ses plaies.
Figure de proue du mythique cabaret parisien Madame Arthur, Lucky Love signe ici un acte de naissance musical très prometteur, en attendant son premier EP, prévu pour le mois de juin.
{"type":"Banniere-Basse"}