Parallèlement à la sortie des deux disques tourbillonnants de son groupe de filles Erase Errata, Jenny Hoyston sort un disque sous le nom de Paradise Island : elle y trace les contours d’un univers moins rock, plus lo-fi et électronique, composé de chansons mutines et d’expérimentations solitaires, avec diverses machines antiques. Son disque semble un […]
Parallèlement à la sortie des deux disques tourbillonnants de son groupe de filles Erase Errata, Jenny Hoyston sort un disque sous le nom de Paradise Island : elle y trace les contours d’un univers moins rock, plus lo-fi et électronique, composé de chansons mutines et d’expérimentations solitaires, avec diverses machines antiques. Son disque semble un baume indispensable destiné à calmer l’ardeur frénétique de son groupe. Plus anecdotique, il n’en témoigne pas moins de la même tension psychotique qui anime Erase Errata.
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