Dorlotées ou secouées, les guitares sont à l’honneur chez ces Londoniens. Critique et écoute.
Fin février, les Brit Awards furent l’occasion d’un drôle de constat : les Arctic Monkeys faisaient figure d’exception, alors que les guitares semblaient en voie de disparition. Mais Let’s Wrestle ignore son époque avec panache, bien plus intéressé par la britpop et les eighties. Nommé par Lawrence, de Felt, d’après un recueil de David Shrigley (double classe), le groupe injecte autant de charme dans ses riffs fougueux que dans ses mélodies romantiques, embellies par des cordes discrètes.
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