Après plus de 40 ans de stades et de festivals, Townshend et Daltrey ont décidé de revenir aux bases.
Woodstock, l’Ile de Wight, Live Aid… Les Who sont habitués à se produire lors d’évènements gigantesques, qui ont en plus marqué l’histoire. Et s’ils ont foulé les scènes des plus grands stades du monde et ont cassé des instruments sur chaque continent, il est parfois important de revenir aux fondamentaux.
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Ainsi, alors qu’ils viennent de sortir un nouvel album, WHO, treize ans après leur dernier disque en date, ces vieux briscards du rock que sont Roger Daltrey et Pete Townshend veulent toujours tout donner à leur public. Ils vont donc se produire deux fois devant 2 000 personnes au club Pryzm à Kingston upon Thames, dans le grand Londres, le 14 février. Si les places se sont vendues en onze secondes (!) pour le premier concert, il serait toujours possible d’obtenir des places pour le second d’après le NME. D’après les organisateurs, le show devrait être acoustique.
C’est un fait rare pour être précisé : de nos jours, les Roger Waters, Paul McCartney, Rolling Stones et autres icônes se produisent la majorité du temps dans des stades ou des grandes salles de spectacles. Certes, pour les bénéfices que cela rapporte, mais aussi pour satisfaire le plus grand nombre. Ce qui n’est pas forcément le cas de Bob Dylan qui, lui, avait opté pour le Grand Rex à Paris – moins de 3 000 places – pour une série de concerts, en avril 2019.
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