Retrouvez tous les mois des concerts et des soirées incontournables, à booker sur DICE, la nouvelle app pour découvrir les meilleurs artistes en live à Paris.
16 mai : Super Pool Party #25 aux Bains (Paris III)
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Pour le vingt-cinquième et ultime rendez-vous donné aux Bains par les Inrocks et Super! depuis janvier 2017 (avant une nouvelle soirée mensuelle dans un autre lieu parisien dès septembre), ce sont Antonin Appaix, Tommy Newport et Double Mixte qui seront à l’affiche de la soirée, toujours gratuite et aussi incontournable.
18 mai : Priests au Supersonic (Paris XII)
Depuis 2011, Priests apparait comme un groupe incontournable de la scène indé de Washington D.C. Porté par la voix de la chanteuse Katie Alice Greer, la musique de Priests est urgente et incisive, dissonante et enragée. Leur dernier album, The Seduction of Kansas, paru en 2019, se montre politique et engagé. Résolument post-punk, Priests s’autorise des incartades cathartiques, lorgnant du côté d’autres genres tout aussi brutaux.
18 mai : Planningtorock présente Powerhouse, à La Gaîté Lyrique (Paris III)
Avec sa musique à la croisée de l’électro, de la pop et de la new wave, Jam Rostron aka Planningtorock place le corps au centre de son projet artistique. À la fois dansant et engagé, l’événement promet de croiser plusieurs disciplines pour un spectacle à mi chemin entre concert et performance. Il viendra présenter son nouvel album Powerhouse sur la scène de la Gaîté Lyrique.
21 mai : Still Corners à Petit Bain (Paris XIII)
Le duo londonien Still Corners s’inspire aussi bien des expérimentations de Vangelis que du cinéma d’Ennio Morricone, en passant par la synth-pop des eighties. Ils livrent une indie-pop vaporeuse aux accents de grand ouest. Leur quatrième album Slow Air sorti en août 2018 est un album luxuriant prometteur qu’ils présenteront le 21 mai à Petit Bain.
23 mai : Thylacine à l’Olympia (Paris IX)
Pour produire son nouvel album, le jeune prodige de l’éléctronique s’est offert une caravane d’époque et l’a métamorphosé en studio d’enregistrement. De ces expérimentations découle une électro hypnotisante que l’on imagine au fil des kilomètres de route, composée en solitaire son studio nomade. Le beatmaker et saxophoniste construit des textures électroniques élégantes et intimes qui feront voyager la foule de l’Olympia dans des contrées lointaines.
24 mai : Beak à la Gaîté Lyrique (Paris III)
Les enfants terribles du krautrock reviennent faire trembler la capitale. Menés par Geoff Barrow, le trio bristolien délivre une musique expérimentale et atmosphérique aux inspirations diverses. Du krautrock allemand à l’électronique pure et dure, ces petits rois du post-punk touche à tout ont plus d’une corde à leur arc.
28 mai : BCUC à La Cigale (Paris XVIII)
Originaire de Soweto, ce groupe afro-psychédélique emmêle rythmes ancestraux et modernité, aux accents de rock ou de hip-hop pour créer un son unique et reconnaissable, un groupe rebelle et énergique qui promet de faire danser la Cigale.
https://www.youtube.com/watch?v=dMFT758dLvY
28 mai : Pépite à la Gaîté Lyrique (Paris III)
Acclamés par leur premier album Virages sorti en avril dernier, le duo pop le plus romantique de la capitale débarque sur la scène de la Gaîté Lyrique pour déverser leur flot d’amour et de nostalgie douce. Une soirée où Paris risque de disparaître, le temps d’un concert, sous les vapeurs mélancoliques de Pépite.
31 mai : Gaika au Popup du Label ! (Paris XII)
Le rappeur originaire de Brixton viendra présenter son premier album intitulé Heaters 4 The 2 Seaters au Popup! A la croisée des genres, l’artiste dévoile un univers sombre inspiré par le trip-hop, le dancehall ou encore l’éléctronique industriel. Un projet hybride qui s’aventure aussi bien sur les terres caribéennes dont il est originaire que du côté américain. Un live qui s’annonce brûlant et authentique.
4 juin : Alice Glass au Badaboum (Paris XI)
Anciennement connue comme l’autre moitié du célèbre duo Crystal Castles, Alice Glass est revenue en 2015 avec un nouveau projet solo. Alliant avec brio vulnérabilité et excentricité, l’artiste dévoile une musicalité aux accents électro-punk qui sonnent comme une renaissance pour la jeune artiste qui viendra faire flamber le Badaboum.
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