Sur France Inter, le metteur en scène Thomas Jolly a donné les premières infos sur la cérémonie d’ouverture des JO 2024. Et a affirmé qu’il aimerait que Daft Punk y participe.
Ce matin, mardi 24 octobre, le metteur en scène Thomas Jolly, en charge des cérémonies d’ouverture et de fermeture des jeux Olympiques et Paralympiques 2024, s’est laissé aller, sur France Inter, à quelques confessions. Alors que les spéculations se multiplient sur le spectacle qu’il prépare au public international, l’une d’elles a particulièrement attiré l’attention : les Daft Punk reviendraient pour l’occasion.
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Au micro de Léa Salamé, Thomas Jolly semble ambigu sur la question : “Ce serait très heureux qu’ils soient dans cette cérémonie. On ne peut pas ne pas penser aux Daft Punk quand on pense à une telle exposition internationale”, déclare-t-il, avant d’avouer quelques minutes plus tard avoir “menti sur les Daft Punk”. Le metteur en scène ne précise pas pour autant si son mensonge concerne une possible réussite des négociations ou l’absence totale de celles-ci. Un flou qui n’a pas empêché la présentatrice de s’exclamer : “Donc c’est fait, ce n’est pas en négociation, on a une info !”
En février 2021, le duo électro français avait annoncé, par le biais d’une vidéo intitulée Epilogue, sa séparation en février 2021, après 28 ans d’existence.
“Le plus beau et grand spectacle du monde”
Pour ce qui est des autres infos, Thomas Jolly assure vouloir faire “le plus beau et grand spectacle du monde” : “Le plus grand, parce que, pour la première fois de l’histoire des JO modernes, la cérémonie est sortie d’un stade ! On attend plusieurs centaines de milliers de personnes qui seront sur les bords de scène. Et le plus beau, parce qu’on m’offre un bout de Paris, 6 km entre le pont d’Austerlitz et le pont de Iéna avec les monuments qui bordent la Seine.”
Le metteur en scène, à qui l’on doit notamment la version la plus récente et spectaculaire de Starmania, assure aussi un “moment politique” : “C’est super de sortir du stade et d’être sur les bords de Seine, mais pour dire quoi ? C’est un moment politique au sens où, un quart du monde sera rassemblé.”
À 41 ans, Thomas Jolly est déjà le lauréat de trois Molières et s’est imposé comme le nouveau visage du théâtre public et populaire.
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