Avec Nina Nastasia, She & Him, Ty Segall et Jack White.
Voici la sélection des meilleurs disques de la semaine proposée par Les Inrockuptibles.
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Nina Nastasia – Riderless Horse (Temporary Residence/Modulor)
C’est chez des ami·es à Esopus, à deux heures de route de New York, accompagnée de Steve Albini et Greg Norman pour la production, que la chanteuse a trouvé la force de sortir de son silence. Un cadre bucolique et apaisant pour accoucher d’un album brut guitare-voix, loin des arrangements de cordes gothiques d’Outlaster (2010).
Par Alexis Hache
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She & Him – Melt Away: A Tribute to Brian Wilson (Fantasy Records/Universal)
C’est à Brian Wilson que l’actrice-chanteuse Zooey Deschanel et le songwriter M. Ward témoignent ici toute leur adoration, en puisant surtout dans la discographie des Beach Boys de la seconde moitié des sixties. Entre candeur acidulée (Wouldn’t It Be Nice, Don’t Worry Baby) et mélancolie pudique (‘Til I Die, Melt Away), cet hommage reste fidèle à l’esprit originel.
Par Noémie Lecoq
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Ty Segall – Hello, Hi (Drag City/Modulor)
Avec Hello, Hi, qui ne fait pas mentir son titre affable, le sale gosse, plus tout jeune et plus si sale, s’extirpe des lézardes fuzzy pour se lover dans le cotonneux, sans pour autant perdre son sens du tranchant.
Par Rémi Boiteux
Jack White – Entering Heaven Alive (Third Man Records/The Orchard)
Voici Entering Heaven Alive qui, dès l’ouverture A Tip from You to Me, calme le jeu. D’obédience Americana, davantage acoustique, il pioche dans l’exotica, le jazz ou même le reggae, mais se montre surtout fidèle à la country dans ce qu’elle a de plus (faussement) traditionnel – tant du point de vue de l’orchestration que des paroles.
Par Sophie Rosemont
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