La tête qui flotte ? Dans les nuages, bien évidemment, où l’ont fatalement entraînée ces mélodies pousse-au-rêve pour synthés vintage et mélodica mélancolique. Cette electronica, trop humaine, chancelante et poétique pour se laisser enfermer dans les rigides circuits d’un laptop, s’est ainsi littéralement évaporée de l’informatique, en de ravissantes volutes de psychédélisme rose bonbon. Car […]
La tête qui flotte ? Dans les nuages, bien évidemment, où l’ont fatalement entraînée ces mélodies pousse-au-rêve pour synthés vintage et mélodica mélancolique. Cette electronica, trop humaine, chancelante et poétique pour se laisser enfermer dans les rigides circuits d’un laptop, s’est ainsi littéralement évaporée de l’informatique, en de ravissantes volutes de psychédélisme rose bonbon.
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Car dans Melodium, il y a mélodie, et ce n’est pas un vœu pieu de ce Français déjà publié par quelques labels prestigieux du monde entier : souvent chantées (enfin, murmurées), régulièrement ourlées d’instruments chauds, ses comptines à titres parfaits (Les psychotropes sont mes amis puis mes ennemis ou Interlude pour dépressifs) se révèlent d’authentiques pop songs, fredonnables et charnelles. Melodium a un nom de médicament : il soigne le bourdon et impose de beaux rêves colorés.
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