Romantiques et rêveuses, les pop-songs de Maïa Vidal sont un ravissement. Critique et écoute.
L’Américaine Maïa Vidal aurait pu s’appeler Maïa l’abeille. Elle n’a cessé de papillonner de contrée en contrée. Non satisfaite d’être née de parents franco-espagnol et germano-japonais, la demoiselle a ainsi posé ses valises aux Etats-Unis, à Barcelone, Paris et Montréal. On l’a entendue revisiter dans la douceur des bombinettes punk de Rancid sous le nom de Your Kid Sister.
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Sur ce premier album, elle se positionne en cousine d’Emilie Simon ou petite copine de Beirut, enchaînant d’adorables pop-songs fragiles et féminines (The Waltz of the Tick Tock of Times, Follow Me) que portent des arrangements complétés par Giuliano Gius Cobelli ou Marc Ribot. God Is My Bike : prendre ce vélo-là est une bonne résolution pour la planète.
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