Des chansons maussades qui font déjà la bande-son de la fin d’été. Critique.
Sautant sur les genoux de Daho (circa Week-end à Rome), puis partant
en balade sur la mob de Lili Drop, Yann et Cécile Pons, souvent à l’unisson, réhabilitent, entre indolence et mélancolie, insouciance et peines de cœur, cette French Riviera des fifties qui, sous le pinceau de Chagall, laissa à Dieu le soin d’inventer Bardot.
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Et, c’est en refrains délicats et mélodies au point de croix que LFDLC ourle des chansons de fin d’été, ou de torpeur d’un juillet colonisé par les touristes. On sait alors, au mitan de cet opus sudiste, que seul Trenet aidera le garçon de la plage à passer l’hiver, et que la Côte d’Azur sans l’azur des yeux d’une belle ne sera plus qu’une sale manie.
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