Hilare et contagieuse,
de la dance-music qui rend
idiot. Un Hot Chip en est. Critique et écoute.
Ces 2 Ours sont plutôt très bien léchés : leur tanière abrite une gigantesque boule à facettes, un dance-floor en caoutchouc, des murs en chamallow et une sérieuse réserve de Prozac pour l’hiver.
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On n’a pas tous les jours l’occasion de danser frénétiquement, hilare, les bras au ciel et la tête dans l’arc-en-ciel, sur des chansons parlant de Throbbing Gristle, de Chris Rea ou des Congos. Remercions donc les deux Anglais pour ce sens partageur de la liesse, qui fait d’eux un Metronomy totalement décoincé, un Deee-Lite en lo-fi bariolée, des Specials pour jeu vidéo primitif, un Hot Chip qui accepterait ses refrains les plus flagrants au lieu de les saboter (Joe Goddard, cerveau trafiqué des Londoniens, se cache derrière l’un des deux ours).
Inutile de résister : de Work au fantastique Heart of the Congos, cette electro jobarde et totalement gadget aura raison, avec un bras zobé en plus, des idées noires de saison. Mais là, on vend la peau de l’ours.
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